Pas de nouvelles, pas possibilité d'accès à un conseil

Anonyme Epona Tierversicherung 21.05.2021 Signaler Plainte signalée

Bonjour à tous,


Je fais suite aux nombreuses plaintes à l'encontre de l'assurance Epona. Ma chatte y est assurée depuis 2013. Je n'ai jamais eu besoin de leur service jusqu'au mois dernier. 


Face à un état inquiétant, nous avons du consulter aux urgences vétérinaires, puis faire une IRM chez un neurologue. Le verdict est terrible : elle est atteinte d'une tumeur cérébrale au pronostic sombre sur les prochains jours. 


Sachant les frais attendus à régler rapidement, j'ai tenté de joindre l'assurance pour savoir si tout ou partie de ces frais seraient pris en charge par l'assurance, ce qui aurait pu orienter le choix de prise en charge. Deux mails et 5 appels sans réponse plus tard, j'ai décidé d'avancer, de suivre le neurologue, car son état était trop inquiétant.


Avec un traitement palliatif adapté, ma chatte vit dans de bonnes conditions, je suis rassuré. 


Dans l'intervalle, et au vu des frais avancés (entre 2000 et 2500 francs) j'aurai aimé avoir un contact avec l'assurance avant de les engager, et au vu des nombreuses plaintes vues sur le site, avoir une idée de si je peux espérer me faire rembourser tout ou partie de ces frais.


Vu le peu de réactivité de l'assurance alors que ma chatte est en fin de vie, je dois dire que je ne me vois pas faire appel au service de cette assurance si je décidais d'adopter un nouvel animal dans le futur. Je dois dire que cette absence de conseil dans un moment de grande détresse est particulièrement blessant. 

  • Remboursement CHF 2000.-

Sans réponse

L'entreprise n'a pas répondu à la plainte.

Cela fait maintenant deux mois que j’ai tenté de prendre contact avec Epona, sans succès. J’ai récemment envoyé de nouvelles factures pour remboursement de frais, pour une facture totale approchant 2500 francs. Je vois en ligne que ce genre de témoignage est fréquent, et à part de rares réponses génériques de l’assurance en ligne, aucun signe de vie de leur part. A se demander si les locaux sont toujours occupés.